Les agriculteurs bloquent le site de la raffinerie Total de Grandpuits depuis le 10 juin pour protester contre la concurrence de l'huile de palme importée par la compagnie pour produire du biocarburant. Le reporter de RT France les a rencontrés. Le 10 juin à 23h, plus d'une centaine d'agriculteurs ont se sont rendus à Grandpuits en Seine-et-Marne pour empêcher les camions de carburant de se réapprovisionner dans une raffinerie de Total. Ils s'insurgent contre l'autorisation donnée par le gouvernement à la compagnie pétrolière d'importer 300 000 tonnes d'huile de palme par an de Malaisie et d'Indonésie, pour la fabrication de biocarburant. Mus par leur colère, ils ont charrié des mottes de terre pour bloquer le passage des véhicules. Le matin du 11, deux camions ont dû faire demi-tour. Cette décision controversée condamne les producteurs de colza à ne plus être concurrentiels, selon les protestataires. «Demain, si moins de colza est cultivé, l'éleveur n'aura plus assez de colza. Ils vont réimporter du soja OGM.
Certaines tensions étaient palpables, notamment envers les journalistes dont la présence n'était pas forcément appréciée sur le lieu de la rave. À lire aussi: Couvre-feu à 18h: «Beaucoup de commerces sont en danger de mort» Le député d'Ille-et-Vilaine Florian Bachelier (LREM) estimait sur son compte Twitter que « ce rassemblement de zadistes » faisait « honte à notre pays, à nos soignants mobilisés depuis des mois, à nos morts. Puisse l'autorité judiciaire leur faire comprendre rapidement et radicalement le sens du mot responsabilité. L'Etat doit rétablir l'ordre public immédiatement ». Des célébrations illégales à Marseille, en Moselle, en Île-de-France D'autres célébrations clandestines ont été recensées à travers le pays, comme à Marseille, où 300 personnes ont été dispersées par les forces de l'ordre, selon des sources policières, et Réding (Moselle), où une rave-party a rassemblé 150 personnes sur un ancien site militaire. En Ile-de-France, une dizaine de fêtes « sauvages » au total ont été recensées, selon des sources policières.
Émile Littré's Dictionnaire de la langue française © 1872-1877 interroger INTERROGER. v. tr. Questionner quelqu'un sur une chose ou des choses précises qu'il doit connaître ou qu'il est présumé connaître et sur lesquelles il est obligé de répondre. Interroger un accusé. Interroger des témoins. Interroger un candidat à un examen. Interroger un élève dans une classe. Interroger un enfant sur sa conduite. S'interroger mutuellement pour mieux se préparer à subir un examen. Interroger sa conscience ou s'interroger signifie particulièrement Se questionner soi-même à propos de telle ou telle pensée, de tel ou tel acte pour en apprécier la valeur morale. INTERROGER signifie aussi, d'une façon plus générale, Poser une ou des questions à quelqu'un sur tel ou tel fait. Nous l'interrogeâmes sur les causes de cet accident sans obtenir de réponse. Nous nous interrogions l'un l'autre sur ce qui était arrivé à chacun de nous pendant cette séparation. Il signifie aussi, figurément, en parlant des Choses, Consulter, examiner.